Le Belvédère accueille chaque année plusieurs expositions temporaires. L’occasion de décrypter et découvrir le patrimoine du Val de Sully !
Expositions temporaires passées
Patrimoine religieux en Val de Sully
Églises romanes ou néo-gothiques, vitraux historiés ou abstraits, tableaux de maîtres et trésors insoupçonnés : cette année, le Belvédère met à l’honneur le patrimoine religieux des dix-neuf communes du Val de Sully. Au-delà des fleurons que sont l’oratoire de Germigny-des-Prés et l’abbaye de Fleury, ce temps fort vise à révéler ce patrimoine, et à donner aux visiteurs les clés pour le comprendre. Car comprendre, c’est aussi prendre conscience de la nécessité de protéger.
L’exposition Patrimoine religieux est présente en deux partie : au Belvédère et en plein air, avenue Célestin Chateigner (accès piéton entre le Belvédère et l’abbaye de Fleury).
Empruntez les chemins du patrimoine en Val de Sully !


Des tapis de marbre pour saint Benoît
Le pavement en opus sectile de Saint-Benoît-sur-Loire
En 2020, une exposition temporaire lève le voile sur le pavement du chœur de l’abbatiale.
Réalisé selon la technique de l’opus sectile, ce chatoyant pavement du haut Moyen Âge fut importé de la région de Ravenne (Italie) par l’abbé Gauzlin au début du XIe siècle. Marbres de Grèce et d’Anatolie, porphyre d’Égypte, calcaire de Tunisie… Le pavement du chœur de l’abbatiale vous livrera ses secrets !
Sous le commissariat de Maddalena Vaccaro (Université de Salerne), historienne de l’art et spécialiste des pavements.
Retrouvez le programme des animations proposées autour de l’exposition dans l’agenda !
La Part du Lion
Images du lion à l'abbaye de Fleury
Figures du vice ou de la vertus, les animaux sauvages sont omniprésents dans l’imaginaire des femmes et des hommes du Moyen Âge.
Au premier rang d’entre eux se trouve le lion, « roi de toutes les bêtes fauves ». Son image est partout dans les sculptures de l’abbatiale et dans les manuscrits de l’abbaye de Fleury. Il est tout à tour une figure démoniaque et l’allégorie du Christ.
Cette ambivalence est le résultat d’une longue histoire.
Exposition temporaire sous le commissariat d’Eliane Vergnolle (historienne de l’art, professeur honoraire de l’Université de Franche-Comté et vice-présidente de la Société française d’archéologie).

